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Karavan Maloya termine sa tournée à la Rivière des Galets

Karavan Maloya termine sa tournée à la Rivière des Galets

Le maloya a résonné devant les portes des Portois pour un troisième samedi d’affilée. La tournée de Karavan Maloya s’est achevée samedi 18 décembre avec des concerts au plus près des Portois, dans les quartiers de la Rivière des Galets, RN4 et de la ZAC et en présence de maire Olivier Hoarau et de Wilfrid Cerveaux, adjoint au maire délégué à la Promotion de Vie associative et des quartiers.

Ambiance maloya traditionnel avec les groupes Destyn Maloya et Lindigo qui ont joué leurs plus grands succès lors de cet événement organisé par la ville du Port dans le cadre des festivités de fin d’année. Karavan maloya a sillonné pas moins de 12 quartiers de la ville.

Une galerie à ciel ouvert au cœur des immeubles Émile Zola

Une galerie à ciel ouvert au cœur des immeubles Émile Zola

Six artistes, six façades, six peintures, le street-art investit les façades des immeubles Émile Zola au Port. Dans le cadre de l’opération Tropicity, pendant cinq jours, les artistes professionnels de La Réunion : Abeil, Air, Mehdi MLC, Mo Armen, Sept et Yren ont réalisé des peintures sur les façades de 8 à 10 m de haut, dans ce groupe d’habitations choisi pour sa forme en amphithéâtre.

Pour les habitants de ces immeubles SIDR, l’amélioration du cadre de vie est appréciée. Prisca Vermont, mère de famille explique : « toutes ces peintures égayent le quartier, ça change l’image et ramène un peu de vie et une activité pour les enfants ». En effet, Tropicity est axé sur la transmission de savoir-faire et de savoir-être intergénérationnel. Une cinquantaine de jeunes locataires de 9 à 15 ans et des parents aussi ont participé à des ateliers d’initiation au street-art menés par les six artistes. Les œuvres ornent les murs des immeubles.

Une conférence de presse a eu lieu ce mercredi 22 décembre en présence des partenaires. Tropicity initié par la SIDR est la preuve qu’une synergie est possible entre les entreprises portoises, le bailleur, les artistes, les associations et la ville. Annick Le Toullec, la première adjointe au maire a insisté sur la politique volontariste du Port, ville résolument culturelle. Le Port déploie depuis 2015 son programme ‘Ville Musée’ afin d’amener l’art dans les lieux de vie des Portois et Tropicity est une nouvelle déclinaison de cette philosophie a expliqué Annick Le Toullec. Le projet bénéficie d’une enveloppe financière de l’abattement de la taxe foncière sur propriétés bâties dans le cadre du Contrat de ville. En 2021, la ville du Port a mobilisé un peu plus de 1,2 millions d’euros pour des actions de proximité sur les quartiers prioritaires en partenariat avec l’ensemble des bailleurs sociaux.

50 ans de l’OMS : un stage de gardiens de but avec Melvin Adrien

50 ans de l’OMS : un stage de gardiens de but avec Melvin Adrien

Un retour sur les pelouses du Port pour Melvin Adrien, le temps d’un moment d’échange et de partage. En ce 20 décembre, l’ex-joueur de la Jeanne d’Arc qui évolue aujourd’hui à Louhans-Cuiseaux (N3) et avec la sélection nationale malgache a animé un stage pour gardiens de but au stade Lambrakis.
Organisé par la ville du Port et l’OMS qui fête cette année son 50ème anniversaire, ce stage a été l’occasion pour 50 jeunes, filles et garçons de côtoyer des joueurs tels que Steve Ellana, Riffi Mandanda- gardien de Créteil et frère de Steve Mandanda, Thomas Fontaine du FC Lorient et Rayan Raveloson, l’ex-Portois devenu ‘Américain’ avec les LA Galaxy et Fabien Boyer joueur de l’Excelsior. Présence également de Claude Barrabé, le sélectionneur de l’équipe de France de Beach Soccer. Au menu de ce stage placé sous la houlette de Rudy Jeanne-Rose, entraîneur des gardiens de but du Paris FC et de l’équipe de France U16 féminine plusieurs ateliers tels que les plongeons, sorties ou relances.
Melvin Adrien avoue que la réussite de ce stage motive les footballeurs réunionnais évoluant en France ou à l’étranger, à s’investir davantage pour La Réunion. L’ancien Portois a salué les efforts et l’investissement de la ville du Port et n’exclut pas de revenir pour renouveler ce genre d’opération.
Célébration de la fèt kaf en musique

Célébration de la fèt kaf en musique

Retour en images sur le concert de Lindigo et de Destyn Maloya à l’occasion de la fèt kaf. Ce lundi 20 décembre, la fête de la liberté a été célébrée en musique, en présence du maire Olivier Hoarau. Sur la scène installée à la Rivière des Galets, les deux groupes ont ravi le public avec du maloya traditionnel.
 
 
Une manière de célébrer le 173ème anniversaire de l’abolition de l’esclavage proclamée le 20 décembre 1848 à La Réunion.
 
 
Le maloya permet d’honorer la mémoire des ancêtres et renvoie à la tradition, l’héritage et la transmission des valeurs.
200 élèves du Port ont appris à rouler à vélo.

200 élèves du Port ont appris à rouler à vélo.

Tous les enfants entrant au collège doivent impérativement être en possession d’un livret pédagogique attestant de leur capacité à rouler à vélo. Après des mois d’apprentissage, fin du programme « Savoir rouler à vélo » pour 200 enfants du Port.
Le vendredi 17 décembre, l’heure était à la remise des livrets pédagogiques au complexe sportif Georges Lambrakis. C’est sur cette même piste que les élèves ont tout appris grâce aux conseils des éducateurs de l’Office Municipal des Sports (OMS) du Port.

« Savoir rouler à vélo » est un programme du ministère de l’Éducation nationale, initié en mai dernier par la ville. Le Port est l’une des premières communes à s’engager dans el programme avec le soutien de la Cité Éducative. »Savoir rouler à vélo » mise sur la sensibilisation et la technique du vélo et repose sur 3 blocs :
Savoir pédaler – maitrise des fondamentaux du vélo
Savoir Circuler – Découverte de la mobilité à vélo en milieu sécurisé
Savoir rouler à vélo – circulation en situation réellle

Pour Guy Pernic, adjoint au maire, délégué à la Politique sportive : « il est important d’avoir très tôt les bons réflexes : mettre un casque, indiquer des changements de directions, maîtriser son vélo. » Savoir rouler à vélo c’est aussi l’assurance de faire du sport, de pouvoir se déplacer en autonomie avec un mode doux pour l’environnement a-t-il ajouté.

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